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 Test RP de Perséphone

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Perséphone T. Rosenbach

Perséphone T. Rosenbach

✖ à chicago depuis : 15/07/2012
✖ édits officiels : 9
✖ votre humeur : Contrariée
✖ métier/occupation : Scientifique
✖ votre âge : 32

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MessageSujet: Test RP de Perséphone   Test RP de Perséphone EmptyMar 17 Juil - 10:11

16 ans et l'âge de la remise en question, l'approche de la simulation et du choix définitif de ce que sera sa vie. Perséphone, bien loin de toutes ces préoccupations, vient de rentrer chez elle pour s'empresser de balancer son sac de cours sur le fauteuil et se ruer dans sa chambre. Rares étaient les fois où Monsieur et Madame Rosenbach s'absentaient en fin de soirée mais cette fois, la jeune femme était persuadée d'avoir la maison à elle seule, une opportunité qu'elle ne laisserait pas filer comme ça. Son frère, fêtard de première a profité de l'animation du quartier pour sortir et se laisser embarquer par ses amis après une vaine dernière insistance auprès de sa sœur lui vantant les mérites d'un moment de liesse et de partage, l'ayant finalement laissée prendre le chemin de la maison seule se heurtant une fois de plus à un refus.

Bien loin de toutes les préoccupations des membres de sa faction, Perséphone avait bien d'autres projets pour cette fin de soirée. Une fois de plus, elle avait passé sa journée à cacher aux yeux de tous la facilité qu'elle avait à comprendre et acquérir un savoir pour lequel la plupart d'entre eux n'avaient aucun intérêt. Préférant ne pas se faire remarquer, malgré le fait qu'elle sache déjà qu'elle n'était pas faite pour appartenir à la grande famille des fraternels, il lui fallait faire profil bas. Des soupçons naissaient mais jamais bien longtemps. On la considérait surtout comme une excentrique refoulée dont le calme duquel elle s'affublait n'était qu'une façade qui finirait par s'effriter et se révéler lors de la simulation. Ne remettant jamais en cause l'éducation de ses parents qui n'étaient pas à blâmer, ayant toujours tout fait pour qu'elle grandisse et s'épanouisse dans un monde de couleur et de bonheur auquel elle n'adhérait pas, l'on ne lui reprochait rien et la laissait s'isoler lorsqu'elle en avait envie. Certains pensaient qu'elle ne voulait révéler sa romance naissante, raison pour laquelle elle s'évaporait tant, d'autres tentaient de l'approcher, en vain la plupart du temps, ne prenant pas en compte les « on dit » ainsi que les rumeurs. Mais ils étaient bien loin de la vérité.

Depuis des années, il lui arrivait de céder à cette tentation, proscrite par sa faction, qu'était la lecture et à laquelle elle ne pouvait résister bien longtemps. Bien plus que la musique, les relations humaines et la recherche de la paix, Perséphone trouvait son bonheur dans la quête du savoir et ce qu'il représentait, c'est à dire : tout. Pour elle, être ignorant était la pire des bassesses et se complaire dans un bonheur festif éphémère était se mentir à soi-même. Rien ne pouvait remplacer ou même égaler cette sensation de bonheur qu'elle ressentait lorsqu'elle sentait les froissements des pages sous ses doigts et qu'elle acquérait un savoir auquel elle n'aurait jamais aspiré si elle était née comme son frère, c'est-à-dire, comme une vraie fraternelle. La simplicité dont ses parents et les autres membres du quartier se contentait était illusoire, fondée sur de simples apparences et moments insignifiants. Elle ne parvenait pas à les comprendre même après avoir longuement essayé. Ainsi caressait-elle du bout des doigts les murs recouverts de papier peint aux couleurs éclatantes sans trop y prêter attention, ne portant aucun regard sur les photos de famille ornant parfois un pan de mur, bien trop absorbée par cette satisfaction qui serait bientôt sienne. Jetant un rapide coup d'oeil en arrière avant de pénétrer dans son antre, elle en referma la porte, resta un instant le front apposé contre cette dernière puis, convaincue par le silence émanant de l'habitat, avança en direction de son lit. Ses mains glissèrent sur la couette pour finir sous l'oreiller, saisissant avec précaution le Saint Graal.

Ramenant ses genoux contre sa poitrine, laissant son dos s'appuyer contre le mur, assise sur ses couvertures, elle ouvrit le livre en le maintenant du bout des doigts, sûrement de peur qu'il ne s'effrite si elle se presait ou si ses mains tremblaient de trop car oui, ses mains tremblaient. Cela faisait tellement de temps qu'elle attendait d'être enfin seule à la maison pour se délecter d'une énième lecture en cachette et elle avait pris un tel soin à s'emparer de cet ouvrage sans que l'on ne s'en rende compte dans son entourage qu'elle se félicitait intérieurement du courage dont elle avait fait preuve. La simple idée d'aller à l'encontre des idéaux de ses parents auxquels elle se pliait depuis tant d'année lui donnait des sueurs froide et ce simple acte consistant à apaiser sa soif de connaissance était jouissif. L'adrénaline montait à son cœur qui battait la chamade alors que ses yeux décryptaient les lettres penchées formant ces mots lourds de sens. Qu'il était merveilleux de pouvoir lire … Elle en aurait presque eu les larmes aux yeux si elle eut été sensible.

Cela faisait à présent plusieurs minutes qu'elle lisait inlassablement, revenant parfois en arrière histoire d'être bien sûre d'avoir assimilé les notions décrites dans l'ouvrage de chimie avancée reposant maintenant sur la couverture sans qu'elle eut besoin de le tenir. Ayant changé de position entre temps, elle était à présent étendue de tout son long sur son lit, sur le ventre, le haut de son buste relevé, s'appuyant sur ses coudes, les avants-bras relevés de sorte à ce que ses mains ne s'entrelacent. Le menton posé sur l'enchevêtrement de doigt, elle était plongée dans sa lecture de telle sorte qu'elle n'entendit pas la clé entrer dans la serrure de la porte d'entrée, les bruits de pas pourtant lourds se dirigeant vers sa chambre ni même sa porte qui s'ouvrit en un instant laissant sur son pas ses deux parents ébahis de découvrir une telle chose.

« Persé … phone … »

Les mots prirent leur temps avant d'arriver à son oreille et dans son esprit, la scène passa au ralenti. Instinctivement, dès l'instant où elle se rendit compte que l'on s'était introduit dans son petit cocon alors qu'elle croyait être tranquille pour un bon bout de temps, elle avait fermé le livre d'un revers de main et s'efforçait de le cacher derrière son dos alors qu'elle se redressait en position semi-assise. Mais comme elle pouvait le voir dans l'expression de ses parents, il était trop tard, ils avaient découvert le pot aux roses. Son père s'avança à grands pas vers elle mais leva la main sur le livre dont il s'empara alors que l'adolescente protestait en levant les bras vers son précieux ouvrage.

« Papa, laisse-le, il n'a rien fait ! »
« Nous allons avoir une grande discussion Perséphone Rosenbach, je te laisse cinq minutes pour réfléchir à ce que tu vas dire pour ta défense. Nous t'attendrons dans le salon. »

Parlant de l'objet comme s'il s'agissait d'une personne faite de chair et d'os, Perséphone s'était redressée sur ses jambes jusqu'à ce que son père ne réplique en levant un index menaçant en sa direction. C'était la première fois qu'elle le voyait aussi contrarié car jamais ôh grand jamais un fraternel ne laissait la rage ni la colère prendre le dessus sauf en cas d'extrême urgence. Ce fut cette fois-ci elle qui resta bouche-bée alors qu'ils lui tournaient le dos, le visage décomposé devant cette rude révélation. Même si ils savaient que leur fille était différente, jamais ils n'auraient imaginé qu'elle puisse un jour se détourner du droit chemin et s'en allèrent poser leur séant dans un canapé faisant face à un fauteuil dans lequel s'asseyerait Persé quelques minutes plus tard. En attendant, la jeune femme restait figée au milieu de sa chambre, réfléchissant le plus vite possible à une excuse à leur donner bien qu'elle sache qu'elle ne pourrait pas leur mentir. Prêcher le faux lui était impensable mais comment s'en sortir autrement ? Ne pouvant s'y résoudre, elle décida d'être franche, comme elle l'avait toujours été et ne songea pas un seul instant à préparer son discours. Elle en avait assez de ne pouvoir être celle qu'elle était, de devoir se cacher derrière un masque, de se priver pour la cause que eux défendaient. Elle n'avait pas les mêmes opinions qu'eux et ils devraient l'accepter. Être une érudite aurait du les flatter mais non, ils ne semblaient pas disposés à accepter quoique ce soit en ce mardi soir. Traînant des pieds jusqu'au salon, la tête haute, elle les dévisagea l'un après l'autre avant de s'asseoir, calme, comme à son habitude.

Monsieur Rosenbach saisit dans sa main droite le livre auparavant posé sur l'accoudoir du canapé et l'éleva de sorte à ce qu'il soit bien en évidence suite à quoi il observa la réaction de sa fille. Cette dernière serrait les dents, se retenait de ne pas se ruer sur lui pour lui ôter cette chose à laquelle il ne comprenait rien et se l'approprier de nouveau. Tous étaient imperturbables, prostrés dans leurs fauteuils respectifs, attendant que l'un ou l'autre ne brise le silence. Ce fut Perséphone qui fit le premier pas.

« En quoi cela vous pose-t-il problème que je m'adonne à d'autres distractions que la musique et l'art ? Pourquoi ne pouvez-vous pas comprendre que mon épanouissement ne se fera pas en suivant bêtement la voie que vous m'avez imposée ? J'estime n'avoir commis aucun crime alors rendez-moi ce livre. »
« Ça n'est pas aussi simple que ça Persé … »

Sa mère tenta de calmer le jeu dès le départ alors que Perséphone s'enflammait, voulant à tout prix défendre ses idées. Son père, en revanche, reposa le livre sur la table basse et croisa ses mains signe d'une intense réflexion. Les trois personnages se dévisageaient, les parents comme s'ils découvraient une atroce vérité sur leur fille et cette dernière comme si elle ne les connaissait plus. Comment pourraient-ils se comprendre si ces fraternels n'essayaient pas un court instant de se mettre à sa place ? De plus, la brunette ne lâcherait pas aussi facilement le morceau. Têtue, elle l'était, et ne savait pas de qui elle avait hérité ce trait étant donné que les personnages lui faisant face ne lui ressemblaient ni caractériellement parlant ni physiquement. Eux avaient cette touche baba cool rehaussée par cette touche de rouge, l'une des deux couleurs que les fraternels se plaisent à porter, quant à elle, elle était plus simple. Les pattes d'eph et fleurs dans les cheveux, très peu pour elle. Préférant arborer un style conventionnel, ses longs cheveux bruns étaient attachés en une haute queue de cheval tandis que ses vêtements étaient moins affriolants que ceux de ses parents. Elle faisait face à deux stéréotypes vivants, articulés et doués de parole bien que son père ne se révèle pas aussi bavard que ce à quoi elle se serait attendue.

« Je ne vous demande pas de faire dans la simplicité mais de m'exposer les raisons de votre désaccord ! »
« Tu vis au sein d'une faction dont tu ne partages apparemment pas les idéaux alors que nous nous sommes efforcés de toujours t'apporter joie et bonheur dans ton quotidien. Ce serait plutôt à toi de nous expliquer ce qui te gêne tant dans notre mode de vie et, explique-nous aussi ce que tu trouves dans cette chose et qui est capable de surpasser toutes ces valeurs que nous avons essayé de t'inculquer. »

Pointant du bout des doigts le livre, cause de leur désaccord, Monsieur Rosenbach l'observait, un sourcil arqué. Le ton était sec d'un côté, paisible de l'autre. Bien qu'elle soit calme, la jeune fille ne pouvait s'empêcher de teinter ses propos d'une touche d'agacement contrastant avec la douceur des paroles de ses géniteurs.

« Peut-être aurais-je aimé choisir mon mode de vie, être un peu plus libre de mes opinions et de mes actes mais ça n'est que mon humble avis. Sachez que je vous respecte plus que tout au monde mais que, comme vous avez pu le constater, je ne puis être totalement moi-même sans cette prétendue chose comme vous la nommez si bien. Est-ce une hérésie que d'aimer lire ? Tout le monde sait lire après tout alors, pourquoi s'en passer ? À travers ces pages je découvre un nouveau monde, de nouveaux concepts et théories incroyables qui me passionnent. Je ne pourrai éternellement me forcer à parler aux autres, festoyer vivement, être moi-même sans avoir acquis un minimum de ce savoir dont vous me privez depuis bien trop longtemps. Vous rendez-vous compte que j'ai besoin de me cacher pour lire alors que vous, faites ce que vous aimez à longueur de journée. Comprenez bien que même après avoir essayé, je n'y arrive pas … Je suis désolée … »

Baissant les yeux, fixant les lacets de ses bottes, Perséphone laissa un instant le silence lourd de conséquence ponctuer sa longue tirade. Elle aurait aimé leur dire à quel point tenir un livre entre ses mains, sentir cette odeur particulière de bouquins neufs et vieux s'élever dans les airs, sentir sous ses doigts la texture inégalée des pages d'un livre était jouissif mais eux ne semblaient pas disposer à changer d'avis. Depuis toujours ils n'avaient de cesse de vanter les mérites de leur faction et du bonheur animant les quartiers est de Chicago. Elle devait bien avouer qu'aucun autre quartier n'égalait le sien mais ce dont elle avait besoin, elle, était le calme, la solitude et un bon bouquin au coin d'un feu par exemple.

« Nous t'entendons Persé, mais nous ne pouvons accepter un tel comportement sous notre toit. Tu dois suivre la voie que nous t'avons tracée car nous savons que, dans le fond, cette voie te convient parfaitement et que l'érudition qui te fait tourner la tête n'est pas une issue pensable. Ta cérémonie du choix se fera dans deux ans, tu n'y couperas pas, et nous espérons bien te voir faire le bon choix. »
« Un choix qui ne sera pas le mien … »

Relevant ses yeux brillants, elle se heurta à deux murs de glace avec lesquels il était impossible de communiquer et qui ne trouvaient rien à redire à sa dernière phrase lancée de but en blanc. Abdiquer jusqu'à ce que le choix lui appartienne et que le test d'aptitude ne révèle ses véritables facultés. À ce moment là, ils se rendraient compte qu'ils s'étaient trompés et qu'elle n'était pas faite pour rester chez les fraternels. Se redressant, agrippant le livre du bout des doigts en tendant son bras en direction de la table basse, elle les fixa comme pour les provoquer, sachant très bien qu'ils n'étaient pas assez fous pour se lancer dans une bataille qu'ils perdraient d'avance car ils n'étaient pas faits pour le combat.

« Le jour du test, rappelez-moi d'agir comme le ferait une vraie fraternelle car il se pourrait que j'oublie comment se joue ce rôle … »

Ses cheveux lui fouettèrent le visage alors qu'elle se retournait vivement, les laissant tous deux muets dans leur canapé rougeâtre. Toutes ces couleurs lui donnaient envie de vomir alors qu'elle réfrénait cette envie de craquer qui l'envahissait et faisait poindre au coin de ses yeux des larmes de rage. Elle n'avait qu'une seule envie, se réfugier dans sa chambre, se changer et se vêtir de bleu avant de finir son chapitre et s'endormir pour enfin se réveiller le lendemain comme si rien ne s'était passé. Le test et le choix étaient encore bien loin mais arriveraient à point nommé. Elle les attendrait en s'efforçant d'être comme on attendait qu'elle soit n'en faisant ni trop peu ni pas assez mais en attendant, il lui fallait quitter ces vêtements aux couleurs trop éclatantes.


Dernière édition par Perséphone T. Rosenbach le Mar 17 Juil - 20:28, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Test RP de Perséphone   Test RP de Perséphone EmptyMar 17 Juil - 10:15

Sujet : Perséphone est seule à la maison. Dans un élan de courage, elle a réussi à récupérer un livre qu'elle feuillette maintenant avec grand enthousiasme. Tellement prise dans sa lecture, elle n'entend pas ses parents rentrer. Alors qu'ils arrivent dans la chambre de Perséphone, c'est un drame : Elle ne devrait pas être en train de lire. C'est quelque chose que les érudits font. S'en suit une grande discussion entre la jeune femme et ses parents sur la faction à laquelle elle appartient, et celle qu'elle devra choisir à la cérémonie du choix. Ses parents veulent absolument qu'elle reste chez les fraternels.

Cela se passe lorsque la jeune femme est âgée de 16 ans.
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MessageSujet: Re: Test RP de Perséphone   Test RP de Perséphone EmptyMar 17 Juil - 20:29

Et voilà, j'ai tout fini ! J'espère que ce test vous conviendra 06
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MessageSujet: Re: Test RP de Perséphone   Test RP de Perséphone EmptyMar 17 Juil - 20:36

Waw. Tout simplement waw. Ton test est bien entendu validé et tu peux dès à présent finir ta fiche de présentation si ce n'est déjà fait. Tu écris tellement bien ! Ce fut un réel plaisir de te lire et je dois avouer que ce que tu as fait du personnage est vraiment intéressant. En plus je suis heureuse d'avoir enfin une camarade érudite haha
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MessageSujet: Re: Test RP de Perséphone   Test RP de Perséphone EmptyMar 17 Juil - 21:07

Merci pour ces compliments camarade érudite, ça me fait tellement plaisir de voir que mon test rp' soit aussi bien passé que je ne suis que plus motivée pour écrire ma fiche !
J'espère faire aussi bien pour ma présentation et représenter au mieux notre super faction de la mort qui tue la Mort elle même supersmiley
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MessageSujet: Re: Test RP de Perséphone   Test RP de Perséphone Empty

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